lundi 30 août 2010

Recette gourmande juste avant le grand marathon de la rentrée, parce que l’envie de flognarde ça n’attend pas !

Septembre, c’est le début des temps où il faut courir, courir pour tout et des fois pour rien, parce que le temps lui ne s’arrête pas de filer parce que tu cours… Septembre c’est aussi le début de nouvelles envies de ce qui se mange.
Je commence à regarder avec moins d’envies ces salades qui me faisaient pourtant tant saliver cet été avec leurs tomates gorgées de soleil et d’huile d’olive, ces salades et leur sauce où une demi baguette pouvait se perdre sans mal. Aujourd’hui, elles ne m’affolent plus autant l’appétit. Maintenant j’ai d’autres envies, j’ai envie de plats plus chaleureux, de plats qui discuteront plus longtemps avec mon estomac, c’est qu’il me faut du réconfort à moi quand je cours…
Alors j’ai eu une furieuse envie de flognarde, ce gâteau aux pommes découvert du côté de Brive ce printemps, une ville qui continue à me faire furieusement envie… Et comme je la voulais vraiment réconfortante, un petit caramel au beurre salé lui est tombé dessus.
Mais comme il faut courir même pour faire la flognarde j’ai réalisé cette recette avec mon four Duo Chef LG mon complice des jours vite vite…
La flognarde aux pommes sous le caramel…
Ingrédients : 4 œufs - 12 cl de lait – 60g de crème fraîche - 80 g de sucre en poudre - 60 g de farine – 1gousse de vanille – 6 pommes - 20 g de beurre – 50g de sucre roux
Commencez en pelant puis en coupant en morceaux les pommes. Mettez le beure dans une poêle puis faites-y sauter les pommes à feu assez vif jusqu’à ce qu’elles soient bien colorées. Ajoutez alors le sucre roux, remuez, laissez fondre le sucre pour qu’il enveloppe bien les pommes puis retirez du feu et versez-les dans le fond du moule Crouti (si vous utilisez un four classique utilisez un moule couvert de papier sulfurisé).
Verser les œufs dans un saladier et battez-les jusqu’à ce qu’ils soient bien mélangés. Ajoutez ensuite toujours en battant et petit à petit le sucre, la farine, la crème et le lait. Coupez la vanille en deux puis grattez-la au dessus de la pâte.
Versez cette pâte sur les pommes dans le moule puis enfournez, appuyez sur la touche Cuisson Crousti puis réglez la cuisson sur CC1 pour un poids de 0,5, une fois ce cycle fini relancez-le une deuxième fois (avec four classique cuisez à 180° pendant 40 minutes).
Passez ensuite éventuellement la flognarde sous le grill pendant 2 ou 3minutes.
Pendant ce temps réalisez le caramel au beurre salé
Versez le sucre dans une casserole et faites-le chauffer à feu moyen jusqu’à ce que le sucre soit fondu et commence à colorer. N’attendez pas trop sinon il risque de brûler assez rapidement.
Faites chauffer le beurre et 1càs à soupe d’eau à part.
Quand le sucre est à point retirez du feu et ajoutez la moitié du beurre et mélangez avec une cuillère en bois. Remettez un peu sur le feu si le caramel commence à durcir. Versez la deuxième moitié du beurre et mélangez. Finissez en versant l’eau chaude et mélangez de nouveau. Ne laissez pas complètement refroidir avant de servir sinon le caramel va se figer.
Laissez tiédir la flognarde avant de servir et nappez avec le petit caramel.
Cette recette a été réalisée avec le four Duo Chef LG et permet d’utiliser une fonction particulièrement intéressante la cuisson Crousti qui permet de réaliser une flognarde onctueuse et fondante grâce à la cuisson combinée et dans un temps record. Produit offert.

Mais pourquoi, bon et si je retournais en Inde moi… est-ce que je vous raconte ça…

dimanche 29 août 2010

Dernières envies de poser les fesses sur l’herbe et salade comme une ratatouille pour attirer les derniers rayons de soleil…

Le temps des premiers frissons arrive déjà, comme arrive aussi celui du cliquetis des cartables qui s’ouvrent et se ferment… C’est une saison que j’aime parce que les grandes chaleurs que je crains tant s’en vont doucement pour laisser la place à ces petits coups d’airs rafraichissant. Fini mes allures de homard à la moindre sortie, je suis enfin bien pendant que les autres commencent à baisser leurs manches.
C’est un temps pendant lequel j’aime encore m’asseoir dans l’herbe pour profiter des derniers longs brins d’herbe à mettre au coin de la bouche et peut-être aussi parce qu’il y a beaucoup moins de fesses qui ont encore le courage de se poser, j’ai la fesse d’ours solitaire… comme le reste…
Aujourd’hui j’ai encore loupé un des pique-niques de Marie-Laure, ces pique-niques qu’elle met en couleur… Mais j’espère que je me vengerai lors du prochain, peut être l’année prochaine, déjà l’année prochaine...
Mais il me reste encore une chance si j’arrive à m’en aller du côté de Toulouse pour un dernier tour sur l’herbe avec le pique-nique lancé par Marion et ceux de là-bas ! D’ailleurs si vous êtes de par là-bas n’hésitez pas c’est le 26 du côté du jardin royal et tous les détails sont là : Pique-nique toulousain !
Salade comme une ratatouille
Ingrédients : 2 poivrons – 2courgettes – 1aubergine – 1gousse d’ail - 2càs d’huile d’olive – 3ou 4tiges de menthe – 3ou 4tiges de basilic – ½ oignon rouge nouveau - du jus de citron – sel et poivre
Commencez en plaçant les deux poivrons sous le grill bien chaud de votre four. Laissez-les jusqu’à ce que la peau commence à noircir, puis tournez-les d’un quart de tour et attendez de nouveau que la peau commence de nouveau à noircir. Faites de cette manière le tour des poivrons.
Quand ils sont bien grillés de tous les côtés mettez-les dans un sac en plastique alimentaire résistant à la chaleur et laissez-les refroidir.
Lorsqu’ils sont froids sortez-les du sac, la peau s’enlève alors très facilement. Pelez-les entièrement, enlevez les graines puis coupez-les en lanières, puis en morceaux grossiers.
Coupez les courgettes et l’aubergine en 4tranches dans la longueur et faites-les griller d’un côté sous un grill bien chaud. Pendant la cuisson badigeonnez les tranches avec l’huile d’olive.
Quand les légumes sont à point coupez les courgettes et l’aubergine en tronçons, versez-les dans un saladier et ajoutez les poivrons. Râpez finement une gousse d’ail sur les légumes, ajoutez l’huile s’il en reste, citronnez, salez, poivrez et remuez bien. Laissez reposer une bonne heure.
Pendant ce temps coupez en rondelles bien fines l’oignon et effeuillez les herbes.
Au moment de servir rectifiez éventuellement l’assaisonnement puis répartissez l’oignon et les herbes sur votre salade.
Attention ! Il reste quelques places pour mes ateliers culinaires Mon Inde à moi alors n’hésitez pas allez voir par là si ça peut vous intéresser, c’est là : Les ateliers Mon Inde à moi…

Mais pourquoi, et si l’idée d’un pique-nique en hiver recommençait à me travailler… est-ce que je vous raconte ça…

mercredi 25 août 2010

Save the date ! Ma cuisine indienne au Cookcoon de Stéphanie les 4 et 5 Septembre ! Qu’on se le dise ! Et thé aux épices pour fêter ça…

Quand Stéphanie m’a proposé d’animer des ateliers de cuisine, le thème de la cuisine indienne est apparu comme une évidence.
La cuisine indienne m’est tombée dessus un soir, il y a bien bien longtemps, dans un restaurant du côté d’une lointaine banlieue londonienne. Depuis, de rencontres en rencontres, cette cuisine parfumée et inventive n’a pas arrêté de croiser la mienne à tel point que nous sommes maintenant presque un vieux couple… presque parce que, entre nous, c’est encore l’amour fou comme au début !
Aujourd’hui j’ai sorti les épices, la cuisine indienne commence souvent comme ça en sortant la boîte à épices, pour réviser mon thé aux épices. Ce thé que j’aime boire aux terrasses des cafés du coté de la gare du nord pendant que je remplis ma liste de courses de bien curieux ingrédients… tamarin, feuilles d’argent ou de curry , lentilles multicolores et autre sucre jaggery… tous ces ingrédients dont je vais remplir mes cabas dans les boutiques du quartier indien.
J’aime particulièrement ce thé parce qu’il ne fait pas que parfumer les verres, il parfume aussi la maison et il montre ainsi à ceux qui rentrent qu’on les attend avec cette petite attention.
Après il n’y a plus qu’à le faire mousser, à le servir brûlant dans de petits verres et à regarder les visages réjouis des buveurs soudain porteurs de petites moustaches de mousse et de larges sourires… j’aime le thé aux épices pour tout ça…
Et si vous voulez participer à mes ateliers et sentir cette odeur en rentrant chez Stéphanie, tous les renseignements sont juste là après la recette !
Thé indien aux épices
Ingrédients : 1càs de thé noir - 4capsules de cardamome – 2 clous de girofle – 2 graines de poivre – 1petit morceau de cannelle d’environ 2cm – 1tranche de gingembre frais - 1litre d’eau – 25cl de lait entier – 3 ou 4 càs de sucre brun
Ouvrez les capsules de cardamome et versez les petites graines dans un mortier, jetez les enveloppes. Ajoutez toutes les autres épices et écrasez-les grossièrement.
Mettez l’eau à bouillir dans une casserole et dès qu’elle commence à bouillir ajoutez les épices et laissez frémir pendant 5minutes.
Retirez du feu et ajoutez le thé, remuez et redonnez un bouillon rapide. Laissez éventuellement infuser une petite minute si vous voulez un thé fort, sinon filtrez sans attendre.
Faites bouillir le lait, puis quand il est monté ajoutez-le tout de suite au thé.
Avec deux casseroles versez alors le thé, de l'une à l'autre, jusqu’à le faire bien mousser, attention le thé est bouillant.
Servez de suite dans des petits verres ou des tasses et buvez sans attendre.

Au programme de mes ateliers il y aura donc Ma cuisine indienne, l’Inde à ma manière !
Epices, lassi, riz parfumé, curry, petits beignets, thé parfumé et chutney gourmand … et… bien d’autres choses au programme !
Si ça vous tente, ça se passera le samedi 4 septembre et le dimanche 5 de 10h à 13h ou de 15h à 18h les deux jours et il vous en coûtera 65euros pour participer à un cours.
Cours 1 samedi de 10 à 13h Cours 2 samedi de 15 à 18h Cours 3 dimanche de 10 à 13h Cours 4 dimanche de 15 à 18h
Attention chaque horaire est un cours différent !
Si vous voulez tout savoir et vous inscrire n’hésitez pas c’est là : La fiche d’inscription. Ou écrivez moi : doriancuisine@free.fr

Alors à très vite… j’espère !

Mais pourquoi, bon je me demande si je ne vais pas devoir me mettre à la danse du ventre moi... est-ce que je vous raconte ça...

dimanche 22 août 2010

Cupcakerie, cocktail, Chloé, gourmandises et fin d’été… L’Amsterdam strawberry cocktail ma boisson de l’été !

Quand je remonte la rue Pigalle, j’ai l’appétit souvent aux aguets, surtout quand mes pas me guident vers la cupcakerie de Chloé… De loin je guette la boutique et souvent ce sont les longues longues jambes de Claire que j’aperçois en premier, Claire qui prend l’air sur le pas de la porte.
Là, en m’avançant dans la boutique le long du bar, j’aime retrouver le rire de Chloé qui s’échappe au loin depuis la cuisine. La cupcakerie de Chloé est un lieu gourmand et ça ne tient pas qu’aux petites douceurs que l’on peut y déguster…
J’aime passer là-bas des milieux d’après-midi tranquille à préparer ou à déguster des cupcakes ou juste à feuilleter les pages des livres de cuisine et à choisir, un peu comme sur un catalogue, les plaisirs à venir. Chloé et Claire sont de vraies gourmandes qu’il suffit d’écouter pour être pris d’un véritable appétit de cannibale. Après il n’y a plus qu’à lâcher l’affamé qui est en vous à l’attaque des préparations de Chloé, et là…
C’est comme ça qu’un de ces après-midi chaleureux, alors que j’avais pratiquement perdu l’envie de tout, que Chloé m’a dit, j’ai le cocktail qu’il te faut ! Et elle m’a offert ce jour-là la base du cocktail de mon été !
Pour retrouver la cupcakerie de Chloé qui se trouve au 40 de la rue Pigalle dans le 9e, il va vous falloir attendre le 26 août prochain… mais comme l’attente fait partie du plaisir…
Amsterdam Strawberry Cocktail
Ingrédients : 250g de fraises – 100g de framboises de préférence surgelées – 2càs de fructose ou de sucre en poudre - du jonge Bols ou du gin (Chloé utilise de la vodka) – de l'eau gazeuse – 1orange
Coupez l’orange en 4 puis en tranches.
Lavez puis équeutez les fraises. Jetez-les dans un blender, ajoutez les framboises et le fructose et faites tourner le blender jusqu'à obtenir une purée très fine.
Passez le jus au tamis.
Versez le jus dans les verres et ajoutez 4 ou 5cl de gin ou de vodka dans chaque verre. Mélangez bien.
Décorez les verres avec quelques tranches d’orange. Complétez avec un peu d’eau gazeuse à votre goût. Buvez sans attendre !
Et voilà une précision très très juste de Nicolette qui concerne le Jonge, merci à elle !
Il a l'air succulent ce Amsterdam Strawberry Cocktail!
Et bonne idée d'y mettre du jonge bols, après tout c'est cet alcool qui lui donne son nom sans doute. Par contre, le jonge bols n'est pas tout à fait la même chose qu'un gin, même s'il est souvent traduit en anglais comme ça. Le jonge bols c'est du genièvre et a été la base du gin:)
Petit détail que, néerlandaise, je ne pouvais pas laisser filer:)

Si vous aussi vous avez un cocktail de l’été, n’hésitez pas à participer au concours que 750G a mis en place en partenariat avec de Buyers, il y a en plus de très jolis lots à gagner ! C’est là : Du soleil dans votre verre !
« L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération. »

Mais pourquoi, je me demande si je ne vais pas ressortir la chaise longue et mon shaker moi… est-ce que je vous raconte ça…

vendredi 20 août 2010

Masterchef, moi je vote non ! non !! et non trois fois !!! Vous n’aurez pas le tablier des Masterchef madame TF1 !!!

Jeudi soir, 21h moins quelque chose je suis collé devant mon poste à attendre la première du Masterchef sur TF1, c’est qu’on m’a promis du sang, de la sueur, et surtout de la cuisine à fond les fourneaux ! Anton, Demorand et Camdeborde c’est que l’affiche est plus que prometteuse !
Et dès que ça commence la mécanique se met en place, le jury jurite, la dame qui présente passe les plats et les gentils participants qui adorent la cuisine, que c’est toute leur vie la cuisine, et que justement ils ont la chance de leur vie, la chance ! les candidats donc, essayent de cuisiner au milieu de tout ça…
Un jury au goût sauvage, la dame qui sourit, des candidats qui chantent… enfin qui cuisinent avec bonheur, ça me ressemblerait presque à quelque chose de déjà vu ça…
Le problème quand on commence les comparaisons, c’est toujours pareil, y’a toujours un moment où ça coince, y’a pas, y’a toujours ce moment ! Comme le Masterchef commençait doucement, je me suis demandé qui pouvait ressembler à Manœuvre dans la brochette du jour. Lunettes noires, sarcastique et insupportable, le Demorand n’était pas loin. Le Manoukian et son côté surréaliste, Camdeborde le carnivore forcément… C’est quand j’ai commencé à imaginer Anton en train de chanter les brunes ça compte pas pour des prunes en frétillant dans une robe affriolante à la Lio que… Y’a toujours un moment…
Pendant que j’essaie d’arrêter mon imagination les candidats se suivent et… se suivent… et se suivent… Et je commence à trouver curieuse cette drôle d’habitude qu’il a, le candidat, à pleurer, y gagne, y pleure, y perd, y pleure, c’est à se demander s’il ne pleurerait pas même en faisant match nul !
Et pendant ce temps le jury taille, coupe, casse sauvagement le candidat pleureur.
Le problème quand on commence les comparaisons… J’attendais la saillie définitive à la Manœuvre, digne de son Kurt Cobain est mort une deuxième fois ce matin après la prestation d’un malheureux candidat ou du surréalisme à la Manoukian citant Deleuze dans le texte et ça vient pas…
Mais quand ça veut pas... Ça franchement je le mangerai pas dans un restaurant, lance un des jurys, sauvage effectivement… Et voilà que Demorand se lève et comme un aigle, l’œil noir, il fond sur le malfaisant cuisinier qui lui propose du sucré salé ! J’en frissonne, et là il le crucifie d’un eh ben moi j’aime pas le sucré salé ! Y’a pas quand ça veut pas… Et soudain cette phrase lâchée par un des jurys, c’est pas en coupant les cheveux qu’on devient cuisinier, prend un sens tout particulier ! Et je me demande si c’est en cuisinant que l’on apprend à captiver les foules…
Et puis les villes s’enchainent et toujours la même chose, Marseille et puis Lille et puis Toulouse et puis… Le jury attend toujours et encore du local, du typique, du fait dans le coin, on n’est pas chez les Beatles m’sieur dame et pourquoi pas du japonais à Marseille tant qu’on y est ! Et les candidats se suivent… se suivent… se suivent...
Et alors que je suis à fond à fond dans l’émission… en relisant l’œuvre de Proust en hongro-moldave, en me faisant les ongles des pieds et en buvant un p’tit café pour la route, alors que je suis donc harponné par une passion profonde, d’un coup je me demande si je n’ai pas loupé quelques épisodes ! Le temps de tourner une page ou deux de Proust peut-être et les voilà tous à s’éplucher l’oignon ! Me serais-je endormi, trop de joie me fait parfois cet effet… Et c’est là que je me pose la question du jour, ça devait pas parler de bouffe ce truc-là au fait ???
Alors j’attends la fin après 23h bien passées et je me rends compte que finalement je n’ai eu ni sang, ni sueur et surtout surtout pas l’once d’un pouce de cuisine ! L’émission m’a passionné… Tu ne voudrais pas te passionner moins fort là m’a même dit Marie plusieurs fois en me donnant des grands coups de coudes dans les côtes… passionné fermement !
Du coup la question va rester posée jusqu’à jeudi prochain pourrais-je résister au plaisir d’y retourner, d'espérer encore du sang, de la sueur et de la cuisine BORDEL ! Suspens !

Mais pourquoi, je vais m’occuper des mes amis les oignons moi maintenant… est-ce que je vous raconte ça…

dimanche 15 août 2010

Les gens qui mangent sont-ils des gens heureux ??? Drôle de question et réponse peut-être en images… Deuxième tome !

Pourquoi les gens qui s'aiment sont-ils toujours un peu les mêmes? Ils ont quand ils s'en viennent. Le même regard d'un seul désir pour deux. Ce sont des gens heureux…
Décidément je crois que j’ai pris goût à me demander, l’appareil photo à la main, si les gens qui mangent sont des gens heureux. Et chacun à leur manière, touchant, étonnant, déconcertant, appétissant… répond à cette question… A vous de voir ce qu’ils semblent répondre…
Et pour ceux qui aiment allier la photo et ce qui se mange allez donc regarder du côté de chez 750G, vous allez trouver un concours photo qui va vous mettre l’imagination et le végétal en ébullition !
Le Prix des Blogueurs Culinaires récompensera l'internaute ayant produit la plus belle image d'une recette sur le thème du végétal dans l'assiette. Alors à vos appareils ! Et moi je vous en reparle très vite…





Mais pourquoi, et dire que je mange encore dans la rue à la vue de tout ces objectifs ! est-ce que je vous raconte ça...

samedi 14 août 2010

Juste un Eton mess pour finir les mûres du jardin… Juste pour ça… ou peut-être aussi par gourmandise !

Je passe dessous tous les jours depuis que je suis arrivé dans ce drôle de pays du fin fond de la Frise et je vois bien qu’elles me narguent… La mûre est nargueuse dans ces contrées sauvages.
J’ai toujours aimé la cueillette de ces fruits depuis mon enfance et les razzias que nous organisions en bande dans un autre fin fond, bien lointain lui aussi, celui d’un pays où on élève des champions du monde depuis peu.
Je me souviens que nous partions chargés de sceaux à la recherche de la richesse ! Une richesse relative, la coopérative du coin achetait les kilos de mûres pour quelques pesetas, mais ces " pelas ", comme on disait là-bas, sonnaient dans nos esprits bien plus fort que s’il s’était agit de belles pièces d’or. Du coup nous partions heureux d’aller nous arracher la peau sur des forêts de ronces qui n’étaient pas prêtes à lâcher leurs fruits sans quelques écorchures en échange… là-bas aussi la mûres était nargueuse.
Il arrivait pendant ces longues journées de cueillette que l’on s’éloigne un peu des mûriers pour tremper les pieds dans l’eau fraîche. Curieusement pendant ce temps quelques truites finissaient toujours par trouver que nos seaux étaient l’endroit rêvé pour se reposer quelques temps… et nous n’avions plus ensuite le cœur de les chasser.
Nous les couvrions même de quelques feuilles pour quelles ne prennent pas froids, comme si on pouvait prendre froid au sud de l’Andalousie, et nous finissions en leur ajoutant une belle couverture de mûres , des fois qu’elles aient faim… et des fois que le garde pêche passe par là… Ça nous évitait de lui raconter l’amour des truites pour nos seaux, surtout qu’il était étonnamment nerveux alors qu’il n’avait pratiquement rien à faire, la pêche étant fermée…
A la fin de la journée nous rentrions bien fatigués et les mûriers avaient tracés sur nos bras des dizaines de petits chemins. Nous étions fatigués mais contents, parce que les poches pleines de jolies petites pièces que nous faisions tinter en les faisant rouler sous nos doigts, nous avions fait fortune ! Le lendemain notre trésor ne vaudrait que quelques bonbons, mais ce n’était pas grave avec ça nous allions arracher quelques sourires aux filles, rien de plus, mais ça nous suffisait. Un sourire de fille, ça valait bien toutes les mûres d’Espagne…
Depuis je ne peux pas passer sous un mûrier sans tendre le bras et même si ça me coûte encore quelques écorchures je pars à la chasse en espérant toujours quelques sourires à mon retour.
Eton mess en mûres et menthe
Ingrédients :
Pour les meringues : 2blancs d'œufs – 120g de sucre glace –1 pincée de sel
Pour le reste : 10cl de crème liquide entière – 2càs de sucre glace – 1 trentaine de mûres (n’hésitez pas à en mettre plus si elles sont petites, les miennes étaient énormes) - 2càs de sucre en poudre - 1douzaine de feuilles de menthe
Commencez par faire les meringues. Mettez les blancs d'œufs avec une pincée de sel dans la cuve de votre batteur et battez-les en neige bien ferme. Ajoutez alors le sucre sans arrêter de battre.
Avec la préparation à meringues, faites des tas avec de jolis pics sur un papier sulfurisé posé sur une plaque de four. Mettez au four préchauffé à 110° pendant environ 1h.
Pendant ce temps, montez la crème et le sucre glace en chantilly bien ferme et réservez-la.
Préparez ensuite la gelée de mûres. Versez une quinzaine de mûres dans une casserole.
Ajoutez le sucre et 2càs d’eau et mettez le tout sur le feu. Laissez à feu moyen pendant une petite dizaine de minutes en écumant de temps en temps. Passez ensuite la préparation au tamis et reversez le jus tombant du tamis dans une casserole. Remettez au feu jusqu’à obtenir un joli sirop assez épais. Laissez ensuite tiédir.
Coupez enfin les mûres restantes en deux si elles sont suffisamment grosses.
Quand les meringues sont cuites, laissez-les refroidir avant le montage.
Pour le montage cassez les meringues très grossièrement, versez par dessus une jolie couche de crème, puis les mûres et la gelée et enfin les feuilles de menthe grossièrement déchirées et surtout mangez sans attendre.

Mais pourquoi, bon elle est où la plage à Anvers d’abord, j’veux du soleil moi ! est-ce que je vous raconte ça…

vendredi 13 août 2010

Je me demande si je ne vais pas finir par rêver d’été moi ! Melon’s summer cocktail au menu !

Ici, dans mon fin fond de ma Frise à moi, quand je mets le bout du nez dehors je me retrouve aussitôt trempé par la petite bruine passagère.
Le problème de la bruine ici c’est qu’elle a le passage du genre plutôt frénétique, je passe et hop je repasse et avant que tu n'aies le temps de dire qu’elle est passée qu’elle repasse… Ici, la bruine est taquine…
En plus d’être taquine elle a aussi des tendances à la schizophrénie et régulièrement la garce se prend pour un orage, une tempête, un ouragan… en tout cas des choses beaucoup plus humides qu’une simple bruine !
Du coup quand je sors affronter la jungle hostile de la Frise, parce que la jungle est bien bien hostile par ici, avec ses animaux sauvages et… sauvages au milieu de sa verdure luxuriante… faut dire qu’avec ce qu’il tombe elle a de quoi luxurier la verdure ! Quand je sors donc faire mon demi mètre d’aventure quotidienne, je rentre dans l’état d’un chat qui aurait essayé de s’évader d’une piscine pendant une semaine, donc trempé et passablement énervé !
En rentrant de mes amusements aquatiques, j’ai étonnement eu une soudaine envie de chaleur, d’été, de ces choses simples qui normalement se déroulent pendant le mois d’août ! Alors pour m’y croire, pour faire comme si comme dit mon fils, j’ai cherché ce qui pouvait me rendre l’été possible et je l’ai vu… Il se tenait là, au milieu des autres fruits, il avait un petit soleil dans le sourire et je n’ai pas eu le moindre doute en l’attrapant, mon manque d’été allait se régler à coup de melon !
Melon’s summer cocktail
Ingrédients : ½ melon – le jus de 3 oranges – ½ pomme - 2càs de sucre – 2càs d’eau – ½ càc de graines de fenouil – 1douzaine de mûres
Commencez par réaliser un sirop de fenouil. Mettez le sucre, l’eau et les graines de fenouil dans une casserole. Portez à ébullition puis laissez réduire jusqu’à obtenir un joli sirop pas trop épais.Quand le sirop est à point versez-le avec le jus d’orange.
Pelez, égrenez, puis coupez en morceau le melon, faites de même avec la pomme.
Mettez tous les ingrédients sauf les mûres dans un mixer, le jus d’orange au sirop de fenouil, le melon et la pomme. Mixez jusqu’à obtenir un mélange bien fin et homogène, il faut insister longuement, c’est important sinon le jus va se séparer dans les verres.
Coupez les mûres en deux et répartissez-les dans les verres, versez le jus par dessus et dégustez sans attendre.
Si vous êtes passionné de melon et joueurs. Passez d’abord découvrir les melons du Haut-Poitou et toutes les recettes que vous pourrez réaliser avec ces savoureux melons aux arômes de fruits jaunes, miel, noisette fraîche, épices... Des melons à vous entraîner directement en été !
Et ensuite allez vous amuser du côté de 750G. Quelques questions sur le melon du Haut-Poitou vous y attendent et il y a 1 séjour de 2 jours + 1 nuit
et 10 entrées adulte d'une journée au Futuroscope. Attention vous n'avez que jusqu'au 06/09/10 pour jouer !Mais pourquoi, bon je sors avec les palmes ou avec les rames ce matin moi… est-ce que je vous raconte ça…

jeudi 12 août 2010

Les gens qui mangent sont-ils des gens heureux ??? Drôle de question et réponse peut-être en images…

Pourquoi les gens qui s'aiment sont-ils toujours un peu les mêmes? Ils ont quand ils s'en viennent. Le même regard d'un seul désir pour deux. Ce sont des gens heureux…
Ici dans mon autre drôle d’endroit, qui cette fois se trouve au fin fond de la Frise, j’ai croisé pas mal de gens qui mangent au fils des rues, parce qu’ici ils mangent, debout, assis mais surtout dehors, sur les places, les marchés et les rues… pas comme chez nous comme on se disait avec Damien dans une autre ville passionnante
Et en les regardant j’ai été amusé, intrigué, étonné et presque toujours touché… au point de me demander si les gens qui mangent sont des gens heureux ??? A vous de voir !





Mais pourquoi, maintenant moi je mange avec un sac sur la tête quand je suis dehors ! est-ce que je vous raconte ça…

lundi 9 août 2010

La gourmandise est-elle vraiment un défaut ??? Et le retour des cupcakes dans une version fondante et croquante comme un Rocher au chocolat…

Je crois que j’ai toujours été gourmand… Faire les courses avec moi si on ne prend qu’un panier est un véritable cauchemar ! Je suis capable d’empiler tellement de trucs et de machins dans les paniers qu’il m’est déjà arrivé plusieurs fois que les poignées se décrochent sous le poids de ma gourmandise. Là, généralement je renonce sous le regard amusé de quelques acheteuses qui semblent se dire qu’on ne fera décidément jamais rien avec ce sexe masculin porteur de deux mains gauches. Je renonce donc, et je vais me chercher un chariot que je recommence à remplir consciencieusement jusqu’à ce qu’il ne puisse pratiquement plus avancer.
Faire des courses avec un panier ou ce qu’on veut est toujours un véritable cauchemar avec moi…
Je crois que j’ai toujours été gourmand même du temps où je ne savais pas ce que ça voulait vraiment dire. Ma mère n’avait pas laissé de place pour la gourmandise, la routine oui, les bons filets oui, mais la gourmandise non. Du coup mes premiers émois de la bouche ont été assez tardifs.
Je n’imaginais d’ailleurs pas que l’on pouvait ressentir un tel plaisir et que la nourriture pouvait être presque aussi bien que les filles… enfin ça je l’ai appris encore beaucoup plus tard.
J’ai découvert la gourmandise avec le chocolat aux noisettes, enfin je devrais dire à la noisette, il me semblait alors inconcevable de manger plus que le chocolat qu’il y avait autour d’une seule noisette, après je basculais de la gourmandise à la goinfrerie. Enfin depuis j’ai perdu le sens du raisonnable, et je peux aujourd’hui rayer de la carte la nourriture de plusieurs générations d’écureuils et le chocolat qui va avec d’un seul coup de fringale.
J’ai appris la gourmandise d’abord avec le chocolat, le noir, le lait, les noisettes… et puis un jour je suis tombé sur les Rochers Suchard, les rouges…
Comme j’ai deux ou trois tocs… peut-être quatre ou cinq d’ailleurs… du coup je dévore toujours mes Rochers de la même façon, d’abord le haut, le croquant, toujours le haut pour découvrir l’étendue du plaisir à venir. Ensuite les côtés mais là en avançant un peu dans le fondant, les dents commencent à marquer le dedans. Et puis le dessous mais cette fois en attaquant carrément le dedans, et enfin le cœur fondant en deux fois et pour finir les doigts, parce qu’un Rocher on s’en met toujours plein les doigts, si on prend le temps de le manger… Je crois que j’ai toujours été gourmand…
Cupcakes comme un Rocher
Pour les cupcakes (avec cette quantité j’ai fait 6moyens et 6petits) : 120g de beurre – 60g de sucre en poudre – 30g de sucre vanillé – 2 œufs – 60g de farine à poudre levante incorporée (ce qu'on appelle aussi farine à gâteau) - 60g de farine – 75g de Rochers Suchard et 1 mini-rocher par cupcake (seulement pour les moyens)
Pour coller dessus :
20cl de crème liquide – 1càs de sucre glace - 2càs de mascarpone – des mini rochers
Commencez en hachant assez fin au couteau les 75g de mini Rochers pour les cupcakes. Pour plus de facilité à les hacher prenez –les bien froids.
Mettez ensuite dans la cuve d’un batteur (vous pouvez aussi utiliser un batteur à main) le sucre et le beurre et laissez tourner jusqu’à obtenir un mélange bien homogène. Ajoutez alors les œufs, un par un et incorporez-les bien à chaque fois.
Ajoutez les farines (vous pouvez aussi utiliser de la farine classique mélangée à ½ càc de levure chimique) petit à petit, finissez en ajoutant les minis Rochers hachés et en mélangeant rapidement à la cuillère.
Remplissez les caissettes à cupcakes, pas trop, posez des mini Rocher entiers sur les moyens et enfoncez-les dans la pâte. Enlevez de la pâte si nécessaire.
Enfournez les cupcakes dans un four préchauffé à 170° pendant 15 à 20minutes selon la taille des caissettes.
Pendant la cuisson, montez en chantilly la crème liquide et le sucre glace, puis ajoutez le mascarpone et mélangez rapidement à la cuillère, le mélange va se serrer de plus en plus, n’insistez pas trop.
Quand les cupcakes sont prêts, laissez-les refroidir. Déposez ensuite une quantité de crème à votre goût et donnez-lui la forme que vous souhaitez, et si vous prenez le risque de passer pour le pire des gourmand posez un mini Rocher sur la crème.
Produit offert
Si ça vous tente de goûter les mini-Rochers et de découvrir les versions duo du Rocher Suchard, le rouge celui qu’on commence à manger par le… enfin le Rocher quoi ! Laissez un commentaire en précisant que vous en voulez et pensez à me laisser un mail ! Les cinq premiers recevront très vite les petites gourmandises par la poste.

Mais pourquoi, le problème des Mars c’est que je n’ai jamais su par quel côté les commencer… est-ce que je vous raconte ça…

jeudi 5 août 2010

Chasse au melon, melon du Haut-Poitou, et sangria rose estivale au melon… je me demande si le melon ne serait pas de saison…

Quand je pars à la chasse au bon melon, c’est un véritable safari ! Il faut dire que chez moi, ils ont le melon exigeant. Il ne faut pas qu’il soit trop mûr et il leur faut du goût et puis du sucre mais pas trop quand même et puis du juteux… Enfin pour leur en trouver un qui leur convienne je pars en chasse avec la croix et la bannière ! Je ne sais pas si vous êtes déjà resté devant un étal à melons et si vous avez déjà observé l’acheteur de melon, mais moi j’y passerai des journées entières. Le chasseur de melon arrive souvent prudemment, le dos courbé, il sait que le bon melon est farouche et qu’il est capable de s’enfouir au plus profond de la montagne de melons où il a pris pension. Une fois face à la pile c’est là qu’il faut répondre à la plus terrible des questions, où qu’il est le bon melon ! où ? hein ! Parce qu’ils se ressemblent tous avec leurs sourires hypocrites, tous sont plein de promesses, de saveurs, de nuits câlines… enfin tous jurent et crachent par terre qu’ils sont le meilleur du meilleur ! Mais tout ça n’est qu’un piège, le vieux chasseur de melon que je suis sait qu’il n’y en jamais qu’un qui soit le bon. Du coup la chasse est ouverte et pour ça il faut peser, sous-peser, renifler, radiographier… enfin essayer de lire dans le melon grâce aux pauvres néons de grande surface, pas toujours évident... La traque du bon melon est une chose cruelle et chacun a son truc. Certains tapotent avec un air inspiré, essayant de reconnaître le son du bon melon. D’autres ont la reniflette sauvage, d’une seule respiration ils font trois fois le tour du melon. Encore d’autres lancent en l’air et selon l’effet de l’attraction terrestre ils jugent le melon… Moi je suis un tapoteur-causeur, je toque mon melon d’un revers de doigt sûr et ferme et après je lance qui qu’est là ? Et j’attends qu’on me réponde, un bon melon… Bon, c’est assez aléatoire parce qu’à vrai dire les réponses sont assez rares… mais j’ai confiance, je sens que j’y arriverai… un jour ! Et vous c’est quoi vos trucs pour choisir un bon melon d’ailleurs ? Enfin moi depuis que j’ai découvert les melons du Haut-Poitou, un melon dont les arômes de fruits jaunes, miel, noisette fraîche, épices... vont vous faire fondre la bouche de plaisir… Depuis que j’ai découvert leur melon et leur site je le connais sur le bout des doigts mon melon et je sais tout ce qu’il faut pour le choisir ! D’ailleurs si vous êtes un expert en melon il y a un petit concours, Quelques questions sur le melon du Haut-Poitou qui vous attend du côté de 750g avec à gagner 1 séjour de 2 jours + 1 nuit et 10 entrées adulte d'une journée au Futuroscope.Sangria rose estivale au melon
Ingrédients : ½ melon - 60cl de vin rosé – 1 pamplemousse rose – ½ orange – 30g de sucre – 3étoiles de badiane
Faites autant de billes de melon que possible avec une cuillère à melon sinon coupez-le plus simplement en cubes. Coupez la demi-orange en deux puis en tranches.Pressez le pamplemousse et versez le jus dans une petite casserole. Ajoutez le sucre et la badiane. Mettez à feu moyen et faites réduire de moitié à petits bouillons. Versez ensuite ce jus dans un saladier, ajoutez le rosé puis les fruits, les billes de melon et les tranches d'orange. Mélangez bien et oubliez deux bonnes heures au frais. Ensuite vous n’avez plus qu’à appeler les amis à sortir les chaises longues et les verres… N’hésitez pas à utiliser un joli rosé pour cette recette, pour ma part j’ai utilisé un petit rosé tout frais de goût et à la jolie robe, un de ces vins aimables que l’on aime boire bien frais l’été entre amis, le château des Demoiselles.  
Pink Sangria with melon   
Ingredients: ½ melon - Rosé 60cl - 1 pink grapefruit - orange ½ - 30g sugar - 3stars star anise   
Make as many melon balls as possible with a melon baller if it simply cut into cubes. 
Cut the orange in half and two slices.   
Squeeze the grapefruit juice and pour into a small saucepan. Add sugar and anise. Place over medium heat and reduce by half to a simmer.   
Pour the juice into a bowl, then add the pink fruit, melon balls and slices of orange. Mix well and forget a good two hours in the fridge.

Mais pourquoi, tiens et une série sur la sangria ça serait pas une mauvaise idée… est-ce que je vous raconte ça…

mercredi 4 août 2010

Derniers regards sur notre pique-nique du mois d’août et petit cake tout fumé au menu… et ça commence à sentir la Hollande… encore !

C’est fini, on a ramassé les dernières assiettes en carton, on a rangé le plaid à carreaux et j’ai arrêté les danses du soleil… jusqu’à l’année prochaine… peut-être. En attendant juste un petit cake qui trainait sur le gazon de Bercy et qui a disparu par un beau dimanche de pique-nique !
Cake tout fumé
Ingrédients : 100g de scamorza fumé ce délicieux fromage fumé italien – 200g de speck – 150g d’olive vertes dénoyautées – 250g de farine - 1/2 sachet de levure - 4œufs –5cl d’huile d’olive –
10cl de vin blanc - poivre
Coupez le speck en lamelles et le scamorza en très fines tranches, vous pouvez utiliser un économe pour ça. Coupez les olives en trois ou quatre.
Mélangez dans un saladier la farine et la levure.

Ajoutez les œufs, l’huile d’olive et le vin, mélangez bien.

Ajoutez le fromage, le speck et les olives, poivrez léger et mélangez rapidement.
Versez la pâte dans un moule tapissé de papier sulfurisé puis enfournez dans un four préchauffé à 180° pendant environ 50minutes.
Le cake doit être bien doré. Ensuite vous n’avez plus qu’à trouver un petit coin
d’herbe et quelques gourmands pour le goûter, un comme dimanche dernier !
Encore merci à tous ceux qui étaient là et qui ont partagé leur bonne humeur et le contenu de leurs petites préparations. Merci à Sophie et son Il (l’écrin…) de L'écrin révèle le diamant, Myriam et sa maman de Chez Pupuce, Stef & Caro qui sont arrivées de bien loin et bien accompagées de 2 filles ô fourneaux, Angélique du blog Le palais des lys, Marie du blog Les carnets, Christiane, Epicé@anne de… Epicé@anne, Nazarin, Flo de Bretzel & Café crème, Ségolène, Marie-Claire d’A bride abattue, Clémence de Les tentations culinaires de Clémence, Barbara et Cyril de Le frigo magique, Mélanie et Julien de Le goût du bonheur, Pierre & Florence, Julie de Terre noire et soleil rouge, Ae-Ja Voyages culinaires coréens, Fernando, Lilla,Marion d' Over Miam, Céline de WonderCom, Sophie, Apolina et toute sa petite famille Bombay-Bruxelles, Murielle et ma petite bande préférée de La table monde, Aude, son Il et sa petite famille de Dans la cuisine d'Audinette, Ôna et son Il du blog Foodway to green heaven, Nawal de Les casseroles de Nawal, Karine de Cuisinek et à Angélique de Du bruit dans la map. Et surtout n’hésitez pas à mettre les liens de vos articles dans les commentaires que tout le monde en profite et à très vite !
Mais pourquoi, bon samedi on reprend la direction de la Hollande… ça a presque failli me manquer… est-ce que je vous raconte ça…